bonjour à tous
Les Thérèse sont des êtres perpétuellement sous tension, toujours prêts à déchaîner les passions qui les habitent. Il y a en elles un besoin d'absolu. Elle se sentent porteuses d'une vérité qui les dépasse et interdit tout compromis. Elle ne trouvent la paix qu'avec le moyen d'exprimer cette vérité. Ce sont de fidèles compagnes.
Octobre en bruine, hiver en ruine.
En octobre tonnerre, fait vendanges prospères.
À la Saint-Rémy, cul assis.
Octobre le vaillant, surmène le paysan.
En octobre, le vent met les feuilles au champs.
Octobre ensoleillé, décembre emmitouflé.
Brouillard d'octobre, pluie de novembre, font bon décembre.
En octobre qui ne fume rien, ne récolte rien.
Gelée d'octobre, rend le vigneron sobre.
Octobre à moitié pluvieux, rend le laboureur joyeux,
Mais le vendangeur soucieux met de côté son vin vieux.
CAPRICE AU CHOCOLAT
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Cassez les oeufs dans une casserole. Fouettez-les avec le sucre. Placez la casserole dans une autre plus grande avec 2cm d'eau à feu doux. Fouettez 10 minutes.
Retirez la casserole du feu. Battez jusqu'à refroidissement.
Mélangez-y délicatement le cacao et 120g de farine.
Versez dans un moule beurré et fariné et faites cuire à four chaud (190°) 20 minutes. Démoulez.
Cassez le chocolat en morceaux. Mettez-les dans une casserole avec le lait. Faites fondre doucement.
Fouettez la crème jusqu'à ce qu'elle mousse. Mélangez-la dans le chocolat refroidi.
Partagez le gâteau en 3.
Imbibez 2 épaisseurs du gâteau de jus d'orange. Tartinez-les de crème au chocolat. Recouvrez le gâteau de crème au chocolat en lissant avec une spatule trempée dans de l'eau chaude. Saupoudrez de grains de sucre et de vermicelles en chocolat. Mettez au frais jusqu'au moment de servir.
Un prêtre discute avec son ami rabbin :
- J'ai un bon plan pour manger gratuit.
- A oui ! Donnes-moi ton truc !
- Et bien c'est simple, je vais au restaurant assez tard, et je commande un menu complet : entrée, plat, fromage et dessert. Et puis je prends mon temps en dégustant un café, un digestif et un cigare. Et comme ceci j'attends la fermeture. Comme je ne bouge pas, et quand toutes les autres chaises sont rangées sur les tables, le garçon vient me voir pour encaisser. Alors je lui réponds : "Mais j'ai déjà payé à votre collègue qui est parti." Et le tour est joué !
Et le rabbin :
- Très intéressant, on essaie demain?
- D'accord si tu veux.
Le lendemain, les deux amis vont au restaurant et tout se passe comme prévu.
Au moment de la fermeture, le garçon demande s'il peut encaisser et le prêtre lui répond :
- Désolé, mais on a déjà payé à votre collègue qui est parti.
Et le rabbin qui ajoute :
- Et d'ailleurs nous attendons toujours notre monnaie...
J va go cafe , ce matin c l'automne qui a posée son manteau de brouillard
RépondreSupprimerDans la vallée . Bizzzzzz