http://jacquiotthierry.wix.com/thierry-jacquiot > magnifique A voir !
Et c'est parti.....
et bien vous n’allez pas me croire mais j’ai envie de râler…
Un peu…Pas beaucoup …Juste ce qu’il faut…
ça m’arrive rarement …..
juste le temps de dire” zut de flute” et ça passe…voila c'est passé!
…
pour se dérider
pour se dérider
…Dans une brasserie, une jolie femme s'approche du bar.
Elle fait signe au barman de s'approcher plus près.
Lorsqu'il
arrive, elle lui fait signe de façon assez séduisante de se rapprocher
encore.
Il se penche et elle commence a lui caresser la barbe.
Il se penche et elle commence a lui caresser la barbe.
"Êtes-vous le gérant?" dit-elle en lui caressant sensuellement son visage.
"Euh... en fait non", répond le barman.
"Pouvez-vous aller le chercher ?" Demande la femme en glissant sa main dans les cheveux du barman.
"Malheureusement non", souffle le barman prenant visiblement plaisir à la situation.
"Pouvez-vous faire quelque chose pour moi?" Demande la femme en passant ses doigts sur les lèvres du barman.
"Bien sur", répond l'homme.
"Je
voudrais lui laisser un message", dit-elle en glissant un doigt puis
l'autre dans la bouche du barman qui les suce légèrement.
"Quel est le message?" demande le barman.
Quelques années avant ma naissance, mon père connut une étrangère récemment arrivée dans notre village.
Depuis le début, mon père fut subjugué par cette personne, si bien que nous en arrivâmes à l'inviter à demeurer chez nous.
L'étrangère accepta et depuis lors elle fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n'ai jamais demandé d'où elle venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m'apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal et mon père m'apprit l'obéissance.
Mais l'étrangère c'était une conteuse, une enjôleuse.
Elle nous maintenait, pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Elle avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l'histoire ou les sciences.
Elle connaissait tout du passé, du présent, elle aurait presque pu parler du futur !
Elle fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Elle me faisait rire et elle me faisait pleurer.
L'étrangère n'arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois
maman se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire
ses paroles. Je pense qu'en réalité, elle était partie à la cuisine pour
avoir un peu de tranquillité (Maintenant je me demande si elle
n'espérait pas avec impatience qu'elle s'en aille.)
Mon père avait ses convictions morales, mais l'étrangère ne semblait pas en être concernée.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s'en seraient permis.
Ce n'était pas le cas de l'étrangère qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l'alcool. Elle, l'étrangère, nous incitait à en boire souvent.
Elle nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué.
Elle parlait librement (peut-être trop) du sexe.
Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cette étrangère pendant mon adolescence.
Nous la critiquions, elle ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, elle était toujours là !
Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n'avons plus cette fascination.
Il
n'empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous la
retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu'un vienne
écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre…
Voulez-vous connaître son nom ?
Il faudrait que cette belle histoire soit lue par tout le monde.
Attention :
Très gros bisous !