mardi 16 décembre 2014









 
PETITES BLAGUES POUR SOURIRE



Une petite histoire de sein
Une superbe jeune femme promène ses deux chiens dans un bois quand elle croise un jeune garçon :
- Bonjour Madame.
- Bonjour, tu veux carresser mes saint bernard ?
- Oh oui madame, avec plaisir, mais je ne m'appelle pas Bernard !
 
 
Un bègue et son copain marche dans la rue. Il passe devant une superbe créature et le bègue fait:
- T'as-T'as-T'as v-v-vu l-l-la g-g-g-gonzesse ?
- Oui, je l'ai vue, fait son copain.
Quelques mètres plus loin:
- T'as-T'as-T'as v-v-vu l-l-la g-g-g-...
- Oui, je l'ai vue.
Bon, il est sympa son copain bègue, mais il l'énerve un peu. Plus loin:
- T'as-T'as-T-as v-v-vu l-l-la...
- OUI, JE L'AI VUE, répond le copain énervé.
- B-B-Ben p-p-pourquoi t'as m-m-marché de-de-dans?




 UN PET EXPLOSIF
Julien 25 ans rejoint son père dans le jardin - Regarde ce que j’ai trouvé, et il sort de son sac une grenade. - Ou a tu pris çà et que veux tu en faire, demande son père. - je l’ai trouvé prés du camp militaire. Est ce que tu veux toujours démolir le vieux cabanon en bois au fond du jardin demande Julien ? - oui mais je n’ai pas eu le temps, répond le père. Julien dégoupille la grenade et la lance sur le cabanon. Le père pousse un hurlement. - tu es fou, il y a pépé qui bricole dans le cabanon. Trop tard, tout explose, un gros nuage de poussière et des planches volent de partout. Tous les deux se précipitent, et au milieu du nuage de poussière apparaît pépé, une planche sous le bras et qui dit: - Putain, celui là, heureusement que je l’ai pas lâché dans la cuisine.




 ET POUR TERMINER :  je vais vous parler de....

Beauté laideur...


Par un jour la Beauté et la Laideur se rencontrèrent sur le rivage d'une mer. L'une dit à l'autre: "Allons nous baigner." Elles se dénudèrent et plongèrent dans les flots.

Quelques temps plus tard la Laideur retourna sur le rivage et porta les habits de la Beauté. Et la Laideur s'en alla ainsi parée.
Lorsque la Beauté sortit de l'eau et ne trouva pas ses propres vêtements, elle eut honte de se trouver nue, aussi porta-t-elle les habits de la Laideur. Et la Beauté s'en alla ainsi désemparée.
Depuis ce jour, hommes et femmes les confondent.
Toutefois certains reconnaissent le vrai visage de la Beauté, malgré la disgrâce de ses habits. Et d'autres, le regard infaillible, parviennent à démasquer la Laideur.
Kalil Gibran












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