jeudi 27 juin 2013





 



CE MATIN , UN JOLI TEXTE DE PABLO PICASSO

 


" Cueille chaque jour qui se lève comme un jour nouveau,

comme une nouvelle opportunité : ose entreprendre !
  
Laisse tomber la routine.
  
Préfère les nouvelles routes aux chemins mille fois empruntés...
 
Efface le gris de la terre et allume les couleurs que tu possèdes à l'intérieur...
  
L'unique personne qui t'accompagne toute la vie, c'est toi-même.
  
Sois vivant dans tout ce que tu fais...
  
Ne laisse passer aucune occasion pour dire " je t'aime " à ceux que tu aimes.
 
Il y a des êtres qui font d'un soleil une simple tache jaune,
 
mais il y en a qui font d'une simple tache jaune, un soleil."
  
Pablo Picasso



 ET MAINTENANT PASSONS AUX ...



Le stationnement

Une vieille dame désirant stationner son automobile voit enfin une place disponible. Elle fait les manœuvres nécessaires mais… tout à coup… Une automobile sport se faufile à grande vitesse dans « sa » place de stationnement. Un jeune sort de l’automobile tout fier et dit à la dame :
- JEUNE et RAPIDE!
La dame vexée recule alors son automobile pour prendre de l’élan et rentre à toute vitesse dans l’automobile du jeune. Elle dit alors au jeune avec un sourire en coin :
- VIEILLE et RICHE!


André et Germaine


C’est l’histoire d’André et Germaine, vieux couple retraité qui vivait dans une ferme.
Germaine (gère & mène) méritait vraiment son nom. Toute sa vie elle avait fait chier André, décidant de tout, criant après lui sans arrêt, se mêlant de ses affaires, bref une vraie de vraie Germaine.
Un bon jour qu’André en avait marre d’entendre Germaine, y lui dit : « Je m’en vais à l’écurie soigner mon cheval. »
Mais ce jour-là, alors qu’André s’affairait, Germaine est venue le relancer jusque dans l’écurie et continuer à lui casser le traîneau.
À bout de nerfs, André a pincé une couille à son cheval, le cheval a rué et envoyé Germaine violemment dans le mur, et elle est morte sur le coup…
Aux obsèques, Guy et Gaétan jasaient en arrière de la salle.
A un moment donné Guy dit à Gaétan : « As-tu remarqué, chaque fois qu’une femme souhaite ses condoléances à André, il lui serre la main en faisant signe que oui… et quand c’est un homme, il lui serre la main en faisant signe que non ».
Alors comme de fait, Gaétan se met à observer André ; une femme s’avance pour souhaiter ses condoléances à André, il lui serre la main et fait signe que oui. Plus tard un homme s’avance et André lui serre la main et fait signe que non.
La veillée funèbre passe et à la fin le groupe diminue, pour finalement ne rester qu’André, Guy et Gaétan.
Alors Guy demande à André : « Veux-tu ben m’dire pourquoi à chaque fois qu’une femme te souhaitait ses condoléances tu faisais signe que oui, et un homme tu faisais signe que non ? »
André dit :
« C’est ben simple, les femmes me demandaient :
- Elle a pas trop souffert ! Est-elle morte sur le coup ?
- oui !
Et les hommes :
- Ton cheval n’est pas à vendre ?
- Non !!! »





 

1 commentaire:

  1. bien trouvé tes histoires, pauvre Sandrine je lui fais un gros bisous.

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