vendredi 27 mars 2015

" L'AMOUR DIVIN "




Bonjour à tous




Le soleil de mars, donne des rhumes tenaces.




DAMIER DE FRAISES

Ingrédients

Pour 6 personnes:
  • 24 biscuits à la cuiller
  • 1 bombe de crème Chantilly
  • 250g de grosses fraises
  • 2 oeufs
  • 3 cuillères à soupe de sucre en poudre
  • 2 cuillères à soupe de farine
  • 3 verres de lait
  • 3 cuillères à soupe de liqueur de fraise des bois
  • 1 gousse de vanille

Préparation

Lavez rapidement les fraises, égouttez-les, ôtez leur pédoncule.

Faites chauffer dans une casserole le lait avec la gousse de vanille fendue sur toute sa longueur.

Battez dans un saladier les oeufs et le sucre; ajoutez la farine, mélangez; versez petit à petit le lait chaud. Remettez dans la casserole sur feu doux jusqu'à épaississement sans faire bouillir. Otez du feu et laissez tiédir. Retirez la gousse de vanille.

Versez la liqueur dans une assiette creuse, ajoutez un petit verre d'eau tiède. Mélangez bien. Trempez-y rapidement la moitié des biscuits à la cuiller. Disposez-les l'un près de l'autre sur deux rangées dans un plat.

Recouvrez avec la crème.

Trempez le reste des biscuits dans le mélange à la liqueur et posez-les sur la crème.

Avec la bombe de Chantilly, décorez le dessus des biscuits en formant des rosaces sur chacun. Décorez avec des fraises.

Mettez le plat 2 heures au moins au réfrigérateur avant de servir.



L’amour divin
Il m’est arrivé une histoire dont il faut que je vous donne, si je puis dire, la primeur :
C’était il y a quelques temps, au bal de la Nuit
Saint-Georges que j’ai rencontré la petite Juliénas. Une fille drôlement Gigondas, un sacré beau Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois.
On a dansé Anjou contre Anjou sur un Sylvaner à la mode et plus tard, lorsque je lui ai proposé de l’emmener dans monChateauneuf-du-Pape, elle est devenue toute Crozes-Hermitage !!!
Le temps d’aller chercher un Chablis au vestiaire, de mettre un petit Corton dans ses cheveux, on est monté dans ma Banyuls et on a roulé jusqu’au matin.
Ah quelle belle journée !
On s’est baladé Entre-deux-mers, il faisait beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l’eau Clairette. On s’est Pouilly-Fuissé dans les dunes et comme le Mercurey montait sérieusement et qu’on commençait à avoir les Côtes-Rôties, on a décidé de rentrer.
Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvés coincés dans les embouteillages, enfin les bouchons, quoi !
Je commençais à Minervois sérieusement et là, Juliénas et moi, nous avons commencé à nous crêper le Chinon. D’un seul coup elle a claqué la Corbière de la Banyuls et elle est partie ! Je me suis retrouvé comme Macon.
Quoi, me suis-je dit, elle s’est déjà Sauvignon avant même que j’ai le temps de la Sauternes ! Mais je vous Jurançon, je l’avais dans la Pauillac, en effet, j’étais tellement Tokay que j’ai couru après elle dans Lalande et les Chardonnay pour la rattraper.
Quand on s’est retrouvé, et que je l’ai vue devant moi en Gros-plant, je lui ai dit « Ne fais pas ta Pomerol, et ne t’en vas plusGamay ! »
En pleurant, elle est tombée dans mes bras en Madiran : « Ne m’en veux pas, je voulais être sûre que ton Saint-Amour était vraiment Sancerre ».
Depuis on ne s’est plus cuités !!!



 







3 commentaires:

  1. COUCOU , MON JAKY EST DE RETOUR DONC JE ME DEPECHE @+++, BIZZZ

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  2. que c boooooooo tes histoires. bises

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  3. Ce matin en pause pour me reposer de l'heure enlevée à venir pour demain , bizzz

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